Dans une tribune parue dans Les Echos mardi 2 juillet, François Asselin explique son projet pour un nouveau contrat social entre l'Etat et les partenaires sociaux.
Même s'il n'est pas exempt de défauts, le paritarisme a permis de grandes avancées dans notre pays et reste, aujourd'hui encore, la condition sine qua non d'une démocratie saine.
La CPME propose d'asseoir cette refonte du paritarisme autour de trois piliers : responsabilité, indépendance et transparence.